15/12/2008


LODEVE ,
« le beau temps s’annonce »

Détails



Trop longtemps, Lodève s’est abritée derrière des façades en trompe l’oeil ( Perle Verte, Porte de la Méditerranée, la nouvelle entrée de la ville) et des arguments non fondés, ( Lodève est une ville pauvre, les lodévois ne veulent pas de changement, etc).
Le résultat de cette attitude se voit partout.
Et si certainement, nombre de lodévois sont assez contents de leur ville, les non lodévois, les touristes et les étrangers ont une opinion tout à fait différente.
Alors qu’ils trouvent sans exception la région très attractive, ils disent par contre que la ville elle-même, ressemble à un grand parking sans jamais trouver de place, que les terrasses de restaurant se trouvent sur la voie publique entourées de voitures, que le centre ville est quasi sans petit commerce, en état d’abandon, sans entretien et sale. (voir § « tourisme »).
Cette seconde opinion est à prendre au sérieux car elle induit la réponse à : comment développer cette ressource qui fait tourner le commerce, le moteur dont le centre ville a besoin.

Les fausses façades et arguments non fondés servent aussi de leçon. Ces initiatives étaient
certainement basées sur la volonté de faire avancer Lodève : les raisons de leur échec indiquent dans bon nombre de cas un manque de professionnalisme.
Parmi les critères du label « Perle Verte » par exemple ne figurait aucun critère vert et l’échec de l’initiative Métiers d’Art est dû à la dispersion de ces boutiques à travers la ville, alors qu’il aurait fallu les concentrer pour obtenir la masse critique nécessaire.
La nouvelle entrée (sud) de la ville, sera sans doute attractive, mais hélas une surprise de courte durée pour ceux qui prennent direction du centre ville. Si Lodève a besoin d’une entrée principale, (et la ville en a besoin), elle se situe logiquement au nord de la ville. La raison est assez simple : c’est par le nord qu’arrivent la vaste majorité des visiteurs potentiels de Lodève, tandis que ceux qui arrivent par le sud sont, dans la plupart des cas, en train de rentrer à la maison.
Puisque les touristes trouvent la ville sale, leur taxe de séjour devrait être utilisée avant tout pour mettre en place un nettoyage régulier du centre ville au lieu des démarches qui on été faites jusqu'à ce jour.
En tête des arguments non fondés figure « Lodève est une ville pauvre ».
Hélas, avec une banque pour environ 500 adultes Lodève peut concurrencer la principauté de Monaco.
La différence entre Monaco et Lodève est simple :
A Monaco les gens montrent leur richesse. A Lodève la richesse ne se voit pas.
Encore un argument qui sert en même temps d’exemple de toutes ces façades qui sont à rénover en centre ville.
Lodève c’est le Monaco de l’Hérault.
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Le projet Centre Ville


Chaque rénovation, celle de Lodève ne faisant pas exception, demande un plan global et cohérent, une définition des priorités, des responsabilités, un budget.
Grâce à la rénovation du pont de Celles un premier pas, la modification de la circulation , a été réalisé. Aujourd’hui Lodève est dotée d’un périphérique qui contourne, avec un peu d’imagination, le centre ville.
Le deuxième pas est la définition du vrai centre ville, donc le secteur où se situent les commerces. Dans ce secteur la circulation est interdite.
Contrairement à une zone commerciale, dans un centre ville l’effet « Mac Do », (vite se garer, vite acheter, vite partir) est la mort pour le commerce du centre ville.
Dans un centre ville avec des commerces attractifs, les gens se promènent, flânent, s’arrêtent devant les vitrines, dépensent, ont du mal à partir.

Une fois le centre ville fixé, sont à définir les zones de stationnement de voitures pour aller
à pied au centre ville. Ceci nécessite probablement de faire tomber quelques façades pour créer de la place.
Les distances à franchir ne posent aucun problème :
de la place de la Cathédrale jusqu'à la Lergue à peine 300 mètres et de l’ Hôtel du Nord
jusqu'au Quai des Ormeaux 200 mètres.
Se promener dans ce périmètre donne vie au centre ville.
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Détails projet Square Georges Auric


Ce projet prévoit un collectif ( nom proposé LUTEVA) ; une plate-forme où les artistes peintres du Lodévois peuvent exposer et mettre en vente de façon permanente leurs œuvres.
Pour cela le collectif tient un atelier/salle d’exposition dans le local en face du musée Fleury, au rez-de-chaussée.
Le collectif a pour but de :

- offrir aux visiteurs du musée et autres un lieu de rencontre avec les artistes locaux, dans une ambiance conviviale.
- augmenter la vente des tableaux des peintres locaux et ainsi exporter Lodève, ses artistes et son musée à travers la France et bien plus loin.

Une association « Lodève centre ville » (à créer) loue et met à la disposition du collectif, les lieux où se déroulent leurs activités, entretient les lieux, gère et exploite l’ensemble des activités artistiques et commerciales du collectif.
L’association « Lodève centre ville » a pour but de donner vie au centre ville et dans ce cas
précis :

- concrétiser et garantir la continuité de cette initiative,
- assurer la qualité du service,
- donner vie au Square Georges Auric où elle tient une terrasse,
- promouvoir Lodève, son musée, ses artistes

Fonctionnement journalier :

Le collectif couvre les heures d’ouverture du musée, et est ouvert du matin au soir sans interruption. Sont présents pendant les heures d’ouverture, un des peintres membre du collectif et un gérant membre de l’association. Une sélection des œuvres des peintres membres sera en exposition permanente. Les autres œuvres sont présentées dans des classeurs et imagerie numérique. Chaque membre du collectif assure la permanence à tour de rôle. Le peintre présent travaille sur l’une de ses œuvres pendant sa présence.
Le gérant assure les ventes, la communication, la caisse, le débit de boissons.

Les activités garanties par l’association sont :

- galerie, vente de tableaux
- vernissages, galeries d’artistes invités
- cours de peinture
- vente de boissons/ service terrasse

Financement :

L’investissement dépend de l’état des lieux et est en ce moment difficile à quantifier. Sans informations plus précises, le coût est estimé à environ 25.000 euros
L’association doit assurer son financement et paie le loyer du local au propriétaire des lieux.


Le seul engagement de la mairie est la mise en location des lieux susnommés à l’association.

Perspectives :

Il faut reconnaître que la clientèle du musée est particulière. Ces amateurs d’ art viennent souvent en groupe, accompagnés d’autres amateurs. Par conséquent, si une personne dans le groupe propose de visiter le collectif, les autres suivent. Ce phénomène augmente la fréquentation des lieux considérablement. A y ajouter également l’effet invitant de la terrasse sous le platane pour prendre un café, un lieu cruellement absent dans notre ville.
La vente des tableaux de nos artistes peintres, est un moyen de promouvoir notre ville sans précédent. Chaque tableau du collectif qui trouve sa place en France et ailleurs, fait
parler de Lodève.

Réalisation :

Ce projet peut être réalisé en quelques mois,

Impact financier et emploi :

Sortant du musée, les visiteurs n’ont qu’à franchir cette place pour se retrouver cette fois parmi les tableaux des artistes peintres du Lodévois, rencontrer les peintres, ou simplement prendre un café sur la terrasse sous le platane sur le square.
- Si dans un premier temps, un visiteur du musée sur quatre passe un moment dans les lieux du collectif et dépense seulement 2 euros net, alors un emploi sera créé.
- Si dans un premier temps, un visiteurs du musée sur cent achète un tableau du collectif pour un prix moyen de 200 euros, alors cette activité équivaudra à 120.000 euros.
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Détails projet Grand’ Rue.

Afin de rendre la Grand’ Rue plus attractive, trois parties sont engagées :

- la municipalité,
- les propriétaires,
- les commerçants.


La mairie doit dresser une liste d’activités /commerces qui sont autorisés en centre ville.
A partir de cette liste sont à choisir les commerces qui peuvent rester, qui sont à délocaliser et les nouveaux commerces à faire venir.
Elle doit également faire un inventaire des immeubles en bon état, à restaurer, ou en état d’abandon. Elle doit informer les propriétaires des deux dernières catégories et exiger une remise en état rapide.
Le conseil municipal doit voter une taxe « restauration centre ville » à hauteur du coût de la restauration de l’immeuble en question , due un an après la première notification du constat.
Cette taxe double la deuxième année et finit par la réquisition de l’immeuble à la fin de la deuxième année.
Cette mesure semble sévère mais le temps où un propriétaire peut librement laisser dégrader un immeuble et par conséquent l’aspect du centre ville, est fini. Le délai de deux ans est vraiment la durée maximale, parce que la rénovation du centre ville est nécessaire depuis longtemps.

Les propriétaires des immeubles de la Grand’ Rue doivent, après des années de négligence, finalement agir, investir. Des investissements rentables, parce qu’ ils améliorent non seulement l’aspect de la Grand’ Rue, mais ils augmentent en même temps la valeur de leur bien.

La Grand’ Rue compte actuellement 40 vitrines dont 7 sont vacantes et 8 sont à délocaliser.
Seuls 3 commerces sont ouvert 7j/7, quelques uns 5j/7 et la majorité sont plus souvent fermés qu’ouverts. En faisant comme cela, on ne donne pas vie au centre ville.
Pour donner vie à la Grand’ Rue, les commerçants, les nouveaux à venir inclus, ont intérêt à travailler ensemble.
Le but commun de l’intégralité des commerçants du centre ville est d’assurer que les visiteurs du Musée, les touristes, chacun qui rentre en centre ville, puissent rester et trouver ce qu’ils cherchent. Et ceci aux heures qui conviennent aux clients, donc adapté à la saison.
Avant tout, ils ne doivent pas avoir peur de la concurrence. Au contraire.
Si un client ne trouve pas ce qu’il cherche chez le commerçant A, (ou parce que son magasin est fermé), il doit avoir la chance de le trouver chez le commerçant B. Parce que la prochaine fois ce sera l’inverse.
C’est seulement en travaillant ensemble, que les commerçants du centre ville peuvent se créer une réputation. La réputation qui dit, « en centre ville tu as une bonne chance de trouver ce que tu cherches ».
Une fois cette réputation établie, c’est le commerce qui est gagnant.
Et la Grand’ Rue.
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Détails projet Rue de la Lergue

Créer un Souk, un marché Arabe, ne se fait pas tous les jours.
Pour pouvoir réaliser un tel projet il est impératif que la personne qui s’en occupe connaisse parfaitement la culture Française et la culture Nord Africaine, leurs habitudes, bref parle les deux langues.
Trouver une telle personne à Lodève serait idéal.
Le fonctionnement du marché se fait tout seul.
Le monde Arabe a une très longue tradition de commerce ; leur savoir faire est le résultat de siècles d’expérience.
La reconstruction de la Rue de la Lergue suit la même procédure que celle à appliquer pour la Grand’ Rue : faire un inventaire de quel commerce peut rester ou doit être délocalisé, quels propriétaires doivent restaurer leurs façades, etc. comme expliqué au chapitre précédent.
La Rue de la Lergue compte en ce moment 21 vitrines, dont 7 vacantes. Trois magasins peuvent rester, les autres sont à délocaliser.(voir aussi détails Grand’ Rue).
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Détails projet Lodève Plage


Le projet « Lodève Plage », fait partie du projet global « Lodève Centre Ville », qui a pour but de donner vie au centre ville.
Lodève plage se trouve à l’autre bout du parcours de 300 mètres, qui commence au Square Georges Auric, suivi par les projets Grand’ Rue et Rue de la Lergue.
Le projet « Lodève Plage » est situé aux berges de la Lergue devant l’Hôtel de la Paix.
A cet endroit se trouve un ensemble de terrasses (2 à 3) côte à côte, qui offrent petite restauration, glaces et boissons, souvenirs.
Chaque terrasse dispose d’un conteneur mobile de chantier, transformé en cuisine pour le stock et la préparation de la marchandise.
Ces conteneurs sont adossés contre le mur du quai, leur terrasse devant, côté rivière.
Ils reçoivent eau et électricité par un branchement déconnectable et ils sont simplement placés sur le sol. Cela permet de les soulever en cas de grande crue de la Lergue.
La mairie doit connaître la fréquence d’un tel événement.
La berge pourrait être aménagée pour permettre la réception de ce projet. Un rehaussement du bord de la rivière demande un rang de blocs de rochers supplémentaire et du tout-venant pour pouvoir mettre à niveau la terrasse..
Une unité de toilettes est souhaitable, le réseau n’est pas loin.

Réalisation :

Le projet « Lodève Plage » est relativement facile à réaliser, n’engendre pas de frais importants et ne prend pas beaucoup de temps. (3 mois)
L’association « Lodève centre ville » gère le projet Lodève Plage.
Elle paye le loyer des lieux, et celui des unités portables. Elle choisit les commerçants susceptibles de s’y investir sur les aspects compétence, engagement et motivation.


Impact financier et emploi

A cet endroit idéal, au moins 3 emplois sont envisagés
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Détails projet Tourisme


Le Lodévois est très bien placé pour ceux qui connaissent la région et les touristes qui ont vu déjà toutes les régions de France. Ceux qui viennent pour la première fois en Lodévois sont sans exception ravis et agréablement surpris. Mieux faire connaître la région reste désormais une priorité.
Beaucoup moins ravis sont les touristes de la ville, qui ressemble selon 9 sur10 d’entre eux à un grand parking, (sans jamais trouver de place) : pas une seule rue dédiée au petit commerce ; les terrasses de restaurant empiètent la voie publique ; de la saleté partout.
Ils constatent qu’il ne manque pas de banques à Lodève, que les commerces ferment pendant les heures durant lesquelles ils ont envie d’aller se promener, que l’office de tourisme a des heures d’ouverture bizarres et que le prix des consommations est assez élevé, trop élevé par rapport à l’entourage.
Les touristes ont une idée très claire de comment devrait se passer leur séjour. Se promener dans une ville attractive avec un vrai centre ville, où on peut dîner le soir sur une terrasse sous un platane, à des prix corrects.
Les touristes de la zone euro peuvent comparer le prix d’une glace, une bière, un coca et se demandent d’où vient cette différence de prix( +50% et plus). Et ils savent aussi que 200Km vers le sud, c’est l’inverse.
Pour comprendre quelques uns des nombreux aspects qui jouent un rôle important, il suffit de se mettre dans la peau d’un touriste pendant un instant.
Pour chacun les vacances, et surtout les vacances d’été, sont un événement très important. Un rituel qui commence toujours avec le choix du site, trouver un hébergement, réserver, préparer ses affaires et enfin partir en route. Et là on s’aperçoit qu’on n’est pas le seul qui part en vacances. On arrive avec un peu de retard , un peu fatigué aussi et pas trop envie de préparer encore à manger. Au resto ! Mais en centre ville les restaurants ne servent pas après neuf heures le soir. Demain on va manger une glace dit papa aux enfants.
Dimanche onze heures, prêts pour découvrir le centre ville : tout est fermé, ou presque.
Tant pis, on verra demain pour cette glace. Lundi tout est fermé à nouveau !!
Honnêtement, si une telle chose vous arrive, revenez-vous l’année prochaine ?
Heureusement que papa a pu tenir sa promesse pendant la quatrième visite en centre ville,
(la troisième fois c’était entre midi et quinze heures trente et tout était, …….fermé !!!).
mais payer trois euros pour deux boules de glace à un tel endroit ? plus jamais !
La morale de cette histoire est facile à comprendre :
Pour donner vie au centre ville, les commerçants doivent adapter leurs heures d’ouverture, surtout en saison touristique ( à définir), aux besoins des touristes et leurs prix en rapport avec l’état dans lequel se trouve le centre ville.
Les commerçants du centre ville ont intérêt à créer une plate-forme qui tienne compte de ces recommandations.
Beaucoup plus qu’avant, ils doivent répondre aux exigences de la clientèle, adapter leur façon de travailler et la stratégie de vente selon la saison.

Les visiteurs du musée se répartissent sur l’année.
Leur nombre est pour des raisons obscures un secret, mieux gardé que la Banque de France, mais ils constituent sans aucun doute une clientèle importante pour le centre ville hors saison.



Une autre clientèle à développer : le touriste qui se déplace en camping car.
Sa saison préférée commence fin août jusqu’à fin mars de l’année prochaine.

Dans la plupart des cas ce sont des retraités qui cherchent le soleil du sud de l’Espagne
et qui viennent du Nord.
Nombreux sont ceux qui prennent l’autoroute du centre (non payante) pour y arriver.
Après avoir franchi le massif central, c’est Lodève la première ville pour se reposer et se ravitailler. Une zone d’accueil camping car à Lodève peut donner vie au centre ville (hors saison) et permettre à ces touristes d’y aller à pied. La zone actuelle, Les Allées de la Résistance, est bien située, mais devrait être limitée par le Bd. Général Leclerc et la Rue du Parc. Cette zone doit être : facile à trouver, (signalétique à l’entrée nord et sud de la ville avec suivi en ville), réservée aux camping cars, équipée d’eau, électricité et vidange. Par conséquent les parkings de voitures sont interdits aux camping cars.

A étudier également :
- une meilleure attractivité de la piscine municipale. (Toboggan).
- l’ouverture des cours de tennis aux touristes.
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Détails la Source de Lodève


Le syndicat intercommunal des eaux du Lodévois fournit avec sa facture, une fiche de résultats d’analyses concernant la qualité de notre eau potable.
Attention, entre la date de la facture et la fiche d’analyses il y a un délai de (au moins) 1 an jusqu’à 2 ans, pour des raisons administratives.
Avec la facture 2005, présentée début 2006, l’analyse 2004 démontre qu’un des trois échantillons (juin 2004) contient 0.68 µg/l de glyphosate, un pesticide de Monsanto, vendu sous le nom de Round-up : un dépassement de la norme fixée à 0.1µg, de presque 7 fois au moment de l’analyse.
Mais une seule analyse n’explique pas l’historique de la pollution, ( concentration en fonction de la durée). Il est peu probable que la prise de l’échantillon ait coïncidé avec le taux de glyphosate le plus haut, ce qui veut dire qu’en effet le taux a été beaucoup plus élevé. Impossible de dire combien, après un délai de plus d’un an.
L’incident est passé inaperçu à la majorité des lodévois, la municipalité, la Société des Eaux du Lodévois.
Selon la DDASS, c’est la Mairie qui est responsable en qualité de producteur. Le rôle de la DDASS est de contrôler si la Mairie fait bien son travail.
Non seulement le contrôle de la qualité de notre eau potable a complètement échappé au producteur, mais ce dernier n’a rien fait pour en tirer une leçon.
Ce que le producteur aurait dû faire :

- immédiatement alerter la population, hôpitaux, maisons de retraite etc.,
- immédiatement augmenter la fréquence d’analyses,
- localiser l’origine de la pollution.

Mais hélas, rien n’a été fait.
Est-il possible que Lodève ait été trop occupée dans sa démarche pour obtenir le label Perle Verte, et que la qualité de ses eaux ait échappé un instant à son attention ?
Et ce label interdit-t’il qu’une Perle Verte puisse se débarrasser des mauvaises herbes aux bords de ses routes à l’aide de glyphosate ?
Un simple coup de téléphone au siège de cet organisme suffit pour comprendre les critères d’adhérent : il s’agit de critères concernent l’infrastructure uniquement.
Il y a aucun élément disons « vert ».
Le mot « Vert » dans le label Perle Verte pourrait attirer le tourisme vert. Et ces touristes savent mieux que les autres, que les bords des routes déjà jaunis au mois de Mai indiquent l’utilisation de glyphosate. Contreproductif au développement touristique !.
En 2007 le faucheur est revenu. Lodève a-t-elle finalement compris que sa source vaut une fortune ?
Le contrôle de la qualité de la source de Lodève est une affaire très sérieuse.
Le producteur responsable doit :

- augmenter la fréquence des analyses,
- un plan d’action en cas de dépassement des normes,
- un mode d’emploi concernant la désinfection,
- un ficher des responsabilités et……pour protéger nos voisins à l’aval de la Lergue :
arrêter l’utilisation du glyphosate par les services de la Mairie.
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Détails Technoparc


La promotion du site Technoparc au plan national et international est primordiale et doit être présentée sous le nom de:
- Carrefour de l’Europe du Sud,
- Crossroads, Southern Europe,
- Autobahnkreutz Sud-Europa,
- Cambio autopista Europa Sur

Des panneaux grand format portant cette dénomination sont à installer sur l’A75 et A750 dans les deux sens.
Proche du site, dans les deux sens également, sont à installer de grands panneaux publicitaires, même texte, + commercial/industrial lots for sale)+ tel nr.+ e-mail address.
Pour la promotion internationale du site, sont à mentionner :
- les distances entre le site et les villes de Paris, Milan, Barcelone, Toulouse, Bordeaux
- les distances par rapport aux aérogares, gare TGV, Port de Sète,
- des conditions/prix attractifs jusqu'à une certaine date.

La promotion internationale se fait par :

- un site web en Anglais en utilisant les dénominations en tête de ce paragraphe,
- direct-mailing sur le site Alibaba.com.cn
- de la pub sur le même site (banner.)
- une présentation aux ambassades de l’Inde et de la Chine,
- s’inscrire aux Chambres de commerce Franco-Indienne et Franco-Chinoise.


A ne pas oublier avant tout de vérifier à l’ANPE la disponibilité de personnes qualifiées, dans la région.
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Détails bien vivre en Lodévois


Bien vivre en Lodévois a probablement autant de définitions que le nombre de personnes qui vivent en Lodévois. Cela incite à vite dresser une liste de priorités.
Mais en regardant d’un peu plus près, il ne semble pas vraiment nécessaire de faire une telle liste, du simple fait que le Lodévois est une région privilégiée.

Il n’existe pas beaucoup d’endroits sur la planète où les quatre éléments, l’Eau, l’Air, la Terre et le Feu (ce dernier représente l’énergie), sont aussi présents que dans le Lodévois.
La qualité de l’Eau et de l’Air a déjà été évoquée ailleurs ; la Terre ( le Lodévois) aussi et la présence de l’élément Energie explique pourquoi le Dalai Lama a fait construire un temple dans la région.

S’il y a une priorité, c’est celle de respecter ces éléments, et en particulier l’élément Energie.
Le projet « Lodève, le beau temps s’annonce » invite à utiliser l’énergie disponible en Lodévois, parce qu’elle est disponible à tout le monde et à volonté.

Elle permet à toute personne de respecter les règles d’hygiène autour des parcs de collecte des ordures.
Elle permet au maître de mieux surveiller son chien.
Elle permet à la municipalité de mettre en place des panneaux incitant la population à respecter l’hygiène en ville et vérifier si les dispositifs mis en place sont au point.
Elle permet à la police municipale de mieux surveiller et verbaliser ceux qui continuent à ne pas respecter la propreté de la ville.
Et pour le bien-être de beaucoup de lodévois, elle permet à la municipalité :
- de faire faire un constat infrarouge de la ville afin de minimiser la perte d’énergie à travers les murs et toits des maisons non isolées.
- de prendre des mesures pour réduire le bruit de l’autoroute.
- d’augmenter le pouvoir d’achat des lodévois en favorisant l’installation d’un magasin Lidl.
- de créer un site/blog interactif permettant l’échange d’info, idées, initiatives, entre la municipalité et les lodévois.


Avec l’énergie disponible en Lodévois, tout est possible.
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Remerciements :


Mme. Chantal Roche, Pointe à Pitre, Guadeloupe,
Mr. Gérard Jouve, Lodève
Mr. Alain Baqué, Aumelas
Mr. Jean-Pierre Piernas, Lodève
Mr. Bernard André, Montpellier
Mr. Alexandre Andrieu, CIC Lodève

08/12/2008

LODEVE
« le beau temps s’annonce »


Une vision globale concernant le développement de Lodève et la région






Lodève « le beau temps s’annonce » est un ensemble de propositions
qui ont pour but d’ améliorer la situation économique de la ville et du Lodévois et ainsi faire prospérer la région.






Cornelis Hilak

Conseiller culture, environnement, technologie, qualité
980, route de Mayres,
34700 Lodève ,France
chilak@neuf.fr

*projet déposé


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Introduction


La ville de Lodève peut reprendre son rôle de moteur économique de la région par simple revalorisation de deux aspects déjà présents depuis toujours : sa situation historique et géographique.

L’aspect historique concerne le centre ville de Lodève qui héberge selon les connaisseurs
beaucoup de possibilités d’en faire une ville très attractive.

L’aspect géographique concerne la région , le Lodévois et le Technoparc.

L’Hérault a été élu le département le plus attractif sur 260 critères par le Figaro/l’Express
et l’attractivité de l’arrière pays y a joué un rôle important.

L’ancien site de la Cogema, le Technoparc, est situé à l’endroit ou se croisent les principaux axes autoroutiers Nord- Sud et Est- Ouest de l’Europe du Sud et c’est cet aspect qui doit être l’argument principal dans la promotion de ce site.
Son nom, « Le carrefour de l’Europe du Sud ».



Ci après sont présentés les projets:

1. Lodève centre ville.

2. Bien utiliser ses ressources.

3. Technoparc.

4. Bien vivre en Lodévois

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1. Projet Lodève centre ville


But : Réaménager le centre ville, afin de le rendre attractif aux Lodévois, aux visiteurs, aux touristes et aux commerçants.


Sont proposés ci après les projets :


a. « Square Georges Auric »,
b. « Grand' Rue »
c. « Souk de Lodève »
d. « Lodève plage »



Ensemble, ces 4 projets transforment le centre ville en 300 mètres d’attractions, un parcours qui commence au Square Georges Auric et qui va jusqu’au bord de la Lergue.


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1.a Projet Square Georges Auric


But: Donner vie au centre ville



Le musée Fleury est sans aucun doute un moteur puissant pour la ville de Lodève. Une vitrine devant laquelle passent un tel nombre de clients potentiels est le rêve de chaque commerçant.
Le projet prévoit dans le local en face du musée Fleury, au rez-de-chaussée, un atelier/galerie ou les artistes peintres du Lodévois peuvent exposer et mettre en vente de façon permanente, leurs œuvres et ainsi exporter Lodève, ses artistes et son musée à travers la France et bien plus loin. (voir détails).


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1.b Projet Grand Rue


But : donner vie au centre ville



La Grand' Rue constitue le morceau le plus important du projet centre ville et demande après des années d’absence, l’attention spéciale de la nouvelle municipalité.
Une rénovation complète doit aboutir à 100m de vitrines de petit commerce attractif côté gauche et côté droite, de commerces définis par la Mairie. Par conséquence certains occupants doivent être délocalisés en concertation avec la municipalité.
Sont à regrouper dans cette rue, les commerces « art et métiers » afin de donner assez de poids à cette initiative, et des nouveaux petits commerces attractifs.
Le but commun de l’intégralité des commerçants dans la Grand Rue est de faire en sorte que les visiteurs du musée, les touristes, et chacun restent dans le centre ville.
(voir détails).


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1.c Projet Rue de la Lergue


But : donner vie au centre ville



La ville de Lodève compte parmi sa population un nombre important de personnes d’origine Nord Africaine. Leur culture se voit à Lodève et doit être conservée avant qu’elle ne se perde.
Le projet « Rue de la Lergue » cherche à valoriser cette culture par la création d’un Souk dans cette rue.
Un marché Arabe à Lodève souligne l’aspect multiculturel de la ville, diversifie les produits en vente et favorise l’installation d’entrepreneurs qui veulent créer un commerce.


Un souk correspond à exactement au but de donner vie au centre ville. (voir détails)


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1.d Projet Lodève plage


But : Donner vie au centre ville



A l’entrée centrale de Lodève, aux berges de la Lergue en contrebas de L’Hôtel de la Paix, créer un terrain plat qui peut réceptionner 2 à 3 petits commerces (restauration, souvenirs), afin de rendre l’entrée de Lodève plus attractive , accueillante , invitante, et donner vie à cet endroit.

Le projet « Lodève Plage » crée un lieu invitant à la porte d’entrée principale de Lodève pour prendre un café, une glace ou manger une salade sur la terrasse au bord de la Lergue.
(voir détails)


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2. Projet bien utiliser ses ressources.


But : développement économique



Lodève dispose d’un nombre de ressources, dont la plupart sont à développer ou à optimiser pour devenir rentables.


Dans ce chapitre 2 est proposé le développement des ressources :

a. Tourisme,
b. La source de Lodève

(Les ressources Centre Ville et Technoparc sont traitées séparément dans les chapitres 1 et 3).


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2.a Tourisme.


Selon les normes internationales est considérée comme touriste toute personne en déplacement hors de son environnement habituel pour une durée d’au moins une nuitée et d’un an au plus, pour des motifs non liés à une activité rémunérée dans le lieu visité.
Avec 497 million de nuitées et des recettes totalisant 36.9 milliards d’euros dans la France entière, un touriste dépense en moyenne 74 euros par jour. (2006).
Il suffit donc de connaître le nombre de nuitées passées en Lodévois, pour pouvoir se faire une première idée de l’impact de la ressource tourisme sur la région.
La capacité des hébergeurs en nombre de couchages, multipliée par la dépense moyenne,
représente le chiffre d’affaires théorique de la ressource tourisme de la région.
Ces deux chiffres nous donnent une idée d’ou nous en sommes actuellement et ce qui nous attend, si cette ressource est correctement développée.
Le développement touristique doit être basé sur une parfaite connaissance de ce que les touristes attendent, de leurs cultures et de leurs habitudes. Seuls ces éléments permettent de prendre des mesures concrètes et efficaces. (voir détails)


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2.b La Source de Lodève.


La source de Lodève qui alimente la ville depuis 1902 avec une eau de très bonne qualité peut devenir une ressource importante pour la ville et la région si son surplus, estimé à 30 m3/ h.,
est mis en vente en bouteille.
Théoriquement la commercialisation de ce surplus peut augmenter les revenus de la ville de Lodève d’environ 7 millions d’euros par an.
Dans le cas où 30% du surplus journalier est mis sur le marché, la production atteint cent mille bouteilles de 2 litres/jour.
Si le prix de la concession est seulement 3 centimes par litre, la source de Lodève représente une ressource qui équivaut 7000 Euros/ jour ou 2.5 millions d’Euros/an.



La source de Lodève est un vrai trésor.

Non seulement fournit-elle de l’eau pure , mais encore sa vente en bouteille constitue la promotion idéale pour la ville et la région : ses revenues stables servent, pour le financement des projets présentés dans ce document.
La source de Lodève est vraiment formidable ! (voir détails)


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3. Projet Technoparc


But : développement économique



Un nombre croissant d’entreprises Chinoises et Indiennes sont arrivées au stade où elles pensent sérieusement à créer un pied à terre en Europe afin de pouvoir mieux gérer leurs affaires, réaliser une part de leur production ou leur distribution sur place.

L’ancien site de la Cogema, « le Technoparc » est situé presque au carrefour des grands axes nord-sud et est-ouest de l’Europe du sud et avec le Port de Sète à proximité, il est l’endroit idéal pour approvisionner le sud de l’Europe.

La création d’un pôle de production/distribution à cet endroit visant le développement industriel de l’Inde et la Chine commence avec une campagne publicitaire étendue.
(voir détails)


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4. Projet bien vivre en Lodévois


But : Améliorer la qualité de vie en Lodévois.



Le bien être des Lodévois commence avec l’eau qu’ils boivent, et la source de Lodève donne depuis plus de cent ans une eau d’excellente qualité.
La deuxième source de la vie, l’air que l’on respire, est le plus pur de l’Europe entier, à égalité avec la partie Nord de l’Ecosse et le littoral de la province de Groningue en Hollande.
Et pour compléter la liste des trésors, le Lodévois est une des plus belles régions de la France.

Les projets présentés dans ce dossier créent des opportunités et de l’emploi.
La ville va être plus belle que jamais, le commerce florissant.
Les étrangers et touristes reviennent parce que c’est bien vivre en Lodévois . (voir détails)


Vivre dans une région privilégié, demande le respect de chaque individu qui vit en Lodévois.
La préservation du trésor Lodévois est l’héritage le plus précieux que les Lodévois peuvent laisser aux futures générations.